Jeremy Ferrari : Le Forum de Fans
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Jeremy Ferrari : Le Forum de Fans

Le forum du jeune artiste en devenir, symbole de l'humour noir.
 
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 Une biofic imaginaire

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thombuckley

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MessageSujet: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeJeu 24 Fév - 15:41

Comme j'ai pas de talent artistique réel, je vous mets ici une de mes seuls contribution au monde artistique.

C'est une fic qui à a été écrite y'a 4 ans, donc il y'a certaines anecdotes que vous ne comprendrez certainement pas (à moins que vous ayez une très bonne mémoire) et si vous aimez les récits bien structurés et cohérents, autant vous dire que vous n'allez pas aimez du tout, car ça part dans tout les sens et je ne m'en excuse pas! Very Happy

Citation :
Une modeste demeure hébergeait en son sein une modeste famille (ce qui nous montre ici le sérieux de cette famille, qui non loin de s’apparenter à la fourmi, a réussi à résister au chant de la cigale).
Cette famille n’ayant pas les revenus suffisants afin de pouvoir acquérir un home sweet home et pas assez de pouvoir politique afin de pouvoir bénéficier ne serait-ce que d’un rabais sur un escalier en chêne, décida de louer un appartement, situé en plein cœur de rien du tout mais non loin de la ville où on peut voir des canaris manger des petits lu à longueur de temps.
Et là vous me direz qu’est-ce qu’on s’en fout ? Et là je vous répondrais : 1- je fais ce que je veux, 2- un récit sans situation initiale, je me sens pas encore prêt pour le pondre (cot cot), 3- Oui je peux faire des blagues onomatopéiques dans mes parenthèses…

Enfin bref, dans cette famille il y’avait une maman et les deux fistons de la maman (et aussi un chien, mais on n’a jamais pu vraiment savoir s’il faisait partie de la famille car à l’époque lors d’un regroupement familial humano-canin, l’amendement permettant de réaliser un test adn afin de savoir si le chien faisait bel et bien partie de la famille n’était pas d’actualité).
Problème (non ce n’est pas encore l’élément déclencheur): Comment loger dans un t2 quand t3 ? (je compte sur les potentiels lecteurs pour me confirmer qu’un t2 est un appart avec deux chambres)
Réponse : Un des fistons se sacrifie pour dormir sur un matelas une place disposé dans le salon, que le fiston utilisateur doit évidemment ranger une fois son devoir nocturne accompli.

Mais (attention élément perturbateur !!!) un membre de cette famille avait un secret non connu des deux autres membres (ou trois en comptant la pelote à tricoter sur patte)… (point de suspens…)

En effet le grand fiston, qui se nomme Argentpoussette (le prénom Orlando étant soumis à un droit de porteur, je me suis rabattu sur un prénom de second choix.) mais que nous nommerons Jon pour souci de facilité, avait… Pourquoi Jon me direz-vous ?, ça n’a aucun rapport… et bien détrompez-vous car ce que préfère Argentpoussete dans les œufs c’est le Jon.

Là je vais à la ligne histoire de reprendre ce que je voulais dire à la base, parce que du coup c’est plus très clair.

Jon avait donc un secret… il avait un ami imaginaire !!! (non ce n’est pas un walt disney que vous êtes en train de lire).

Cet ami imaginaire n’était autre qu’Harry Potter, qui avait justifié sa présence auprès de Jon en lui disant que le fantôme de Dumbledore l’avait amimaginairiser afin qu’il puisse trouver un horcruxe que seul un certain Argentpoussette pouvait trouver sans qu’il le sache pour autant. Bref un récit qui même s’il ne manquait pas de bravitude était tout simplement abracadabrantesque.

Toujours est-il que Jon croyait Harry Potter et décida de tout faire pour retrouver l’objet que lui seul pouvait trouve même s’il ne savait pas comment y accéder.

Cependant un jour alors que Jon et Harry se promenait en ville (est-ce que l’expression se promener en village existe aussi ?), Jon se figea…


Devant une annonce publicitaire promouvant la Guiness, il se retourna vers Harry tout en pointant du doigt l’immense pinte de Guiness sur l’affiche et lui dis d’une voix à la Trelawney.

« Ceci est mon sang
le sang de l’horcruxe,
cherche ton chemin dans l’or noir irlandais
sors du brouillard et mange des bulbizarres»

Harry fut très interloqué par ce que venait de dire Jon, qui avait retrouvé ses esprits et se demandait ce qu’il faisait avec un bras tendu vers une publicité.

- Jon, ça va bien ?
- Oui Harry, mais que s’est-il passé ?
- Tu as prophétisé…
- Et mince, je savais bien que je n’aurais pas dû manger de mogette ce midi.
- … c’est quoi le rapport entre la mogette et prophétiser ?
- Prophétiser c’est pas quand on a mangé trop de mogettes ou flageolets.
- Quoi ?? Tu ne confonds pas avec péter là ?
- Péter c’est pas quand on casse quelque chose ?
- Euh si si ça c’est correct mais il peut arriver de péter en mangeant de la mogette aussi.
- Mazette péter quelque chose en mangeant de la mogette il faut quand même,…
- Chut c’est bon là, on s’en fout de toute façon. L’essentiel c’est qu’on doit aller en Irlande. Le siège de Guiness tu sais où il se trouve ?
- A côté du fauteuil de chris martin…
- …
- Non mais c’est une blague en fait, parce que Chris Martin c’est le chanteur de Coldplay et c’est aussi le chéri de Gwineth Paltrow… et voilà Guiness et Gwineth beh ça se ressemble…
- Tu ne peux pas arrêter d’être con de temps en temps ? C’est un petit peu sérieux ce que je dois faire, sauver le monde tu vois ce que c'est un peu?
- Oh beh ça va, t’as bien le temps pour faire le kéké sur ton balais…
- Je vais te proposer un truc. On va à Dublin dès que possible.
- Bon d’accord de toute façon les petits lu j’en ai fait le tour, ça me fera pas mal de changer d’Eire (quel filou ce Jon il arrive quand même à faire des jeux de mots sans qu’Harry puisse lui reprocher d’en faire).

Si ça vous plait je vous posterais un chapitre par jour, sinon vous pouvez me buzzer, j'accepte les règles albino
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Luce
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeJeu 24 Fév - 15:52

lol! Ah moi j'adore !^^
Je suis pas sûre d'avoir tout compris mais je trouve ça très drôle !

D'ailleurs ça ne m'étonne pas trop que tu apprécies Arnaud Tsamère au vu de ce que tu écris !
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mily-strange

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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeJeu 24 Fév - 15:53

Je suis pliée de rire, tu sais très bien mal écrire (si je puis le dire ainsi).

Complètement absurde, et en même temps non, on reconnaît des choses de toi (que j'ai appris avec ta présentation lol ex la bière :p). Ca me fait penser à du Tsamere (peut être parce que je sais que tu es fan).

J'adore vraiment, bravo!!!!

je vote oui pour avoir d'autre écrit Smile
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Harmony
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeJeu 24 Fév - 16:02

J'aime bien Smile

Comme tu dis ça part dans tous les sens et c'est ça qui rend vachement bien. Smile

J'ai bien aimé la petite blague sur le prénom Jon et aussi sur Gwineth Paltrow !

Je veux bien la suite moi !
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thombuckley

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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeVen 25 Fév - 13:26

Merci, pour ces remarques^^.
POur situer un petit peu le contexte le but était de raconter un peu ma vie à Dublin avec une façon plus originale qu'un simple journal intime!

Si jamais y'a des blagues que vous ne comprenez pas et que vous êtes curieux vous pouvez toujours demander, je devrais pouvoir vous répondre même si c'est lointain et qu'il y'a des choses que j'ai écrites et que j'ai du mal à comprendre moi même Smile

Chapitre2

Citation :
« Alea jacta est » se disait Jon qui était érudit de latin (niveau astérix), il va falloir annoncer mon départ à ma donneuse de vie (cf épisode de south park saison 4 épisode 16).
Il alla donc voir sa mère et lui dis toute la vérité.

- Maman, tu sais j’ai travaillé tout l’été et j’aimerais utiliser l’argent que j’ai gagné à bon escient. Tu connais le niveau du chômage en France en ce moment, ainsi que la difficulté pour les jeunes d’entrer dans le monde du travail. J’ai décidé de partir quelque temps de France, histoire d’entrer de plein pied dans la vie active et commencer à voler de mes propres ailes. De plus étant donné que tu touches moins d’apl maintenant que j’ai 21 ans, je vois bien, notamment parce ce que tu me l’as fais comprendre, que je constitue un poids financier non négligeable dans tes dépenses hebdomadaires. Le voyage que j’entreprends de faire à Dublin me semble donc tout à fait à propos et me permettra en outre de parfaire mon anglais. Sache aussi que je cherche à respirer de la surexposition de notre président bien aimé dans les médias français, l’amour que je lui porte me pousse à m’éloigner de la France afin de ne pas me lasser de lui par overdose. Mon séjour en Irlande te permettra aussi de respirer financièrement et ainsi de me laisser espérer la venue d’un clic-clac dans le salon à mon retour, ce qui tu le conviendras seras bien plus fonctionnel, que le matelas que je dois trimballer à longueur de temps. J’espère que l’esprit d’initiative dont je fais preuve te sied, et que tu ne me refuseras pas ce besoin de m’épanouir dans ma vie d’adulte. Qu’en dis-tu ?

- Je crois que c’est le discours le plus long que tu m’as fait depuis ta naissance.
- Oui, non mais en fait c’est parce que c’est une fic aussi, donc çà aide pas mal à en faire des tonnes.
- Ah ok. Bon tu peux partir alors, mais tu téléphones et tu n’hésites pas à demander conseils.
- Oui, oui bien sûr. (ce qui voulait en fait dire « je ferais bien comme je l’entends »)

Ainsi Jon, reçut l’aval de sa mère, qui bien que n’étant pas nécessaire (Jon étant majeur depuis 3 ans déjà), n’en est pas moins un passage obligé pour qui veut rester en bon terme avec sa famille (et puis Jon ne voulait pas couper les ponts avec son chien…).

- C’est bon Harry, j’ai prévenu ma mère. On va pouvoir partir pour Dublin.
- D’accord, bon on y va comment ?
- Beh tu vas m’emmener sur ton balai, non ?
- Ah non comme je me suis fait amimaginairiser je ne peux plus voler, c’est physiquement impossible à réaliser.
- La cheminée alors ?
- Pas possible y’a une grève mondiale des ramoneurs, cette voie est bouchée.
- Bon, beh on va prendre l’avion tant pis. T’en a déjà pris un ?
- Non, mais c’est un peu le même principe que la voiture volante, non ?
- Oui si on veut. C’est un peu moins marrant, mais sur le principe c’est ça. Bon je m’occupe de réserver les billets. Euh ce n’est pas la peine d’en prendre un pour toi je suppose ?
- Beh du coup non…

C’est ainsi que quelques jours plus tard, nous retrouvons nos deux compères à l’aéroport de Nantes. Jon se retrouve avec deux valises qu’il a précédemment pesé afin de s’assurer qu’elles ne dépassent pas le poids maximal par passager requis par la compagnie, à savoir 15 kilos pour le total des bagages en soute et 10 kilos pour le bagage à main (un sac en + d’un ordi portable est toléré). Au départ Jon arrivait à un total de 19 kilos pour les bagages en soute et 6 kilos pour l’ordinateur portable. Il avait donc transféré une partie de ses affaires se trouvant dans ses bagages devant aller en soute, dans un sac à dos qu’il emmènerait en cabine. Il avait essayé de prendre ce qu’il y’avait de plus lourd pour remplir le petit sac à dos qu’il emportait en cabine avec lui, dont notamment la trousse de toilettes (erreur, erreur^^)

C’est ainsi que Jon réussis à limiter la surtaxe du au poids excessifs de ses bagages en soute (2 kilos en +) et qu’il perdit par la même occasion son gel douche, son shampoing et sa bombe de mousse à raser (paix à leurs âmes), objets non autorisés dans les cabines (et oui dans les cabines on n’a pas le droit d’être propre et bien rasé c’est comme ça). Ce que Jon ne compris pas, c’est qu’on lui avait tout de même laissé son rasoir ainsi que ses lames et ses ciseaux à ongles…

Enfin bon il était clair désormais qu’on voulait mettre Jon dans l’embarras et faire peser sur lui une terrible pression afin qu’il rebrousse son chemin (ou tout du moins ses cheveux). Jon avait bien raison de penser cela car dans l’avion il allait être témoin d’un complot anti-français.

Alors que Jon (et Harry bien sûr mais, sa présence est implicite dans ce chapitre car il ne pouvait intervenir sans le risque d’éveiller les soupçons chez les autres passagers du vol) prenait place sur un des sièges de l’avion (siège se trouvant au milieu de l’avion et disposant d’une sortie de secours à sa gauche ce qui inquiéta fortement Jon (beh oui ça peut s’ouvrir ces conneries et les appels d’air en plein vol ça pardonne pas)), le pilote commença à parler.

- welcome blablaenglishyogurthwhatifyouwantthereisohyeahmyumbrellaishere itwasabeautifuldayifweleaveinayellowsubmarine.

Jon se disais que celui-ci allait parler en français maintenant afin de renseigner les francophones présent à bord, mais que nenni ! Les hôtesses de l’air suivirent le mouvement et commencèrent à agiter les bras dans tous les sens sans crier gare (vous me direz normal dans un aéroport on crie pas gare, on crie aéroport). « Elles sont bizarres ses hôtesses », se dis Jon, «Il me semble qu’un vol n’est pas un endroit propice à promouvoir un déodorant ». Mais quand les hôtesses commencèrent à montrer des objets, Jon fit le rapprochement et se rappela qu’on prévenait les passagers des gestes à faire en cas de problèmes en vol (ou à l’atterrissage). Mais voilà, là une fois encore, alors même que l’avion se trouvait encore sur le sol français, on négligeait de traduire pour ce grand peuple du monde, et ainsi, c’est tout l’héritage historique et culturel de la France qu’on blasphémait ; Rousseau, Voltaire, Maupassant et le petit Robert devait s’en retourner dans leurs tombes. Les Français de ce vol allais tous crever si un accident venait à se produire !

Puis enfin le vol commença, le pilote devait être d’origine irlandaise car l’avion tanguait fortement… vas-y que je te montre l’océan, vas-y que je te montre le ciel, vas-y que je te montre l’océan, vas-y que je te montre le ciel, vas-y que je te montre l’océan, vas-y que je te montre l’océan, toujours l’océan, encore l’océan.

- Please, can you show me the sky, i prefer. It’s a little bit flippant to have the nose in the ocean. Thanks.

Et enfin l’avion se stabilisa et perça les nuages, mais malheureusement les nuages ce n’est pas comme les ballons de baudruche ça part pas dans tous les sens en faisant un bruit moisi quand on les perce. Cependant les nuages c’est quand même bien sympa, ça fait des formes bizarres et on peut imaginer voir des choses en les regardant comme euh, « oh là on dirait un nuage » « ah ouais, mais carrément !! ». Ce qui est con par contre avec les nuages c’est que ce n’est pas solide, donc on ne peut pas trop s’amuser avec. Ce serait mieux si ils étaient élastiques, on pourrait se poser sur une aire de repos en plein air et ainsi faire du trampoline pour se divertir un peu (le grand danger étant bien sûr de ne pas sortir de la zone nuageuse).

Enfin bref après avoir patienté durant le vol en lisant un magazine en anglais (of course), Jon (et qui ?) atterrissent à Dublin, ou non pas la pluie, mais un ciel couvert et beaucoup de vent les accueillit.

Next step pour Jon, récupérer ses valises sur le fameux tapis transporteur de bagages. Cette étape n’est pas des plus aisés:

1. Les bagages de Jon ne sont pas rouge fushia et ne font pas de musique quand on siffle
2. Certains bagages sont retournés du côté non reconnaissable
3. Jon est myope (bon il a des lunettes donc ça corrige le défaut mais quand même)

Mais Jon a ses atouts :

1. Il veut ses bagages sinon il est dans le caca
2. Jon n’aime pas être dans le caca
3. Au pire Jon est prêt à attendre que tout le monde ait trouvé ses bagages pour trouver les siens.

Vainqueur de ce duel : JON !!!

En effet au premier passage de sa valise Jon l’intercepte (enfin premier passage selon Jon, tout est relatif donc) et pareil pour son deuxième sac qui arrive 30 secondes après. Durée de l’épreuve 8 minutes à peu près.

Jon est paré pour affronter sa prochaine étape : le logement.
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeVen 25 Fév - 14:59

thombuckley a écrit:

POur situer un petit peu le contexte le but était de raconter un peu ma vie à Dublin avec une façon plus originale qu'un simple journal intime!


Et bien c'est réussi !
Merci pour ce deuxième extrait ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeVen 25 Fév - 15:44

C'est toi qui écrit les sketchs de Tsamère avoues? rabbit

C'est excellent!
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeVen 25 Fév - 15:47

Citation :
De plus étant donné que tu touches moins d’apl maintenant que j’ai 21 ans, je vois bien, notamment parce ce que tu me l’as fais comprendre, que je constitue un poids financier non négligeable dans tes dépenses hebdomadaires.


Je croyais voir ma mère mdrrrr!

Franchement excellent ce que tu écris, on rigole, et on s'y voit même si ça flurte avec l'absurde (ch harry potter lol). En plus j'adore parce que je me revois quand je suis allée à Dublin lol, j'ai eu a peu près les mêmes réflexions que toi xD

BRAVOOOOOOOOOOOOOOO
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeSam 26 Fév - 13:36

C'est vrai qu'Arnaud à un peu pompé tout son style sur moi, mais bon je lui en veux pas, il est bien plus talentueux! Very Happy

Je vous mets le chapitre 3 et je vous préviens que je vous mettrais pas le chapitre 4, parce que y'a deux chapitres qui servent à rien ou je raconte mes états d'ames et j'ai décidé de vous mettre qu'un sur deux (et en plus vous serez même pas obligé de le lire parce que c'est un pavé)


Citation :
- What is the next step, Jon ?
- C’est bien tu t’adaptes vite au pays à ce que je vois.
- Disons que je parle un peu toutes les langues du monde… Alors, on fait quoi maintenant qu’on a récupéré tes affaires ?
- Eh bien j’ai réservé une location par Internet depuis la France et donc là je dois appeler un gars pour avoir des renseignements sur ce que je dois faire.
- Appelle, alors.
- Oui oui , je vais le faire, c’est bon !

Jon se dirigea vers l’extérieur de l’aéroport afin que la conversation téléphonique soit plus audible pour lui. Cependant alors que Jon appelait le numéro adéquat, il se rendit compte que ce n’était pas mieux…

Dut dut (oui en Irlande les sonneries font dut dut).
- Aie.
- Vous vous êtes fait mal ?
- What ?
- Hum, sorry. Hello my name is Argent Poussette and blabla qu’est ce que je dois faire ?
- You sdjhdjshds and go sfsjfhsjhf 6 njsnfs
- Hum, could you repeat please, there is wind and I don’t heard very well.
- All right, you sjfhjfhsfjhdjsfhjfjds.
- Sorry, I call you back later because I don’t understand what you say.

Jon se dirigea vers un coin plus abrité du vent, afin de pouvoir entendre dans de meilleures conditions.

- Hi !.
- Hello, I’m Argent Poussette and i’ve called you about blablabla qu’est ce que je dois faire ?
- You sdjhdjshds and go sfsjfhsjhf 6 njsnfs.
- Sorry, but there is too much wind. Do you speak French? (oui parce que même si il y’a du vent c’est quand même plus facile de saisir des mots d’une langue qu’on pratique depuis sa naissance).
- Allright ! Wait a moment please… … (une nouvelle voix qui parle dans le poste) Hello alors vous devez fsfsfdsd comme indiqué dans le mail mais pas avant 6 heures.
- Ok, donc je viens à l’adresse donnée à 6 heures, alors ?
- Voilà.
- D’accord merci beaucoup, au revoir.
- Au revoir.

Alors que Jon venait de raccrocher, Harry ne manqua pas de commenter ce qu’il venait de voir.

- T’as un peu du mal en anglais, non ?
- Oui, mais non, là y’avait du vent alors j’avais du mal à comprendre.
- Et quand il parlait en français, y’avais pas de vent peut être.
- Si mais moins j’ai l’impression.
- Quelle mauvaise foi !
- Quel cicatrice moche.
- …
- Ouais faut pas me chercher, j’ai de la répartie moi Monsieur.
- Ah oui, je vois ça, c’est… impressionnant.
- Bon ça nous fait 3-4 heures avant de prendre le bus. Qu’est ce qu’on peut faire ?
- Ce serait pas mal qu’on fasse un peu plus connaissances, mais sachant que tu sais déjà pas mal de choses sur moi, ça sera plutôt moi qui vais te questionner. Ca me permettra de mieux te cerner. D’accord ?
- Ouais, mais j’ai pas trop l’habitude de me livrer.
- Je te signerais un bon de réception t’inquiète pas.
- Ok, alors.

DOnc à demain pour le chapitre 5!!
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeSam 26 Fév - 14:15

I love you excellent !
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeSam 26 Fév - 14:52

J'aime toujours autant !
Mention spéciale pour le dialogue à la fin de l'extrait ! Laughing
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeDim 27 Fév - 16:26

Donc comme je l'ai dis on saute le chapitre 4 (gare au claquage lors du saut)

Et comme c'est dimanche vous avez le droit à 2 chapitres. CLasse non?

Citation :
Nous sommes en l’an 1900 et alors que Mr Schneider mange un double cheeseburger, il se dis que ce serait bien d’appliquer le même concept pour le transport en commun qu’il à en tête depuis quelques mois déjà. Et c’est donc ainsi que naquis le bus à étage ou à peu près. Toujours est-il qu’à Dublin le bus à deux étages est toujours en service (et l’intérieur semble lui aussi d’époque, comme les sièges prévus pour des personnes mesurant à peu près 1m50 et peu de personnes mesurent cette taille à notre époque à part un président de la République ) Française de nos jours (oui dans ma fic vous verrez des attaques de bas niveau (et de deux) car je dis ce que je veux et en + je me donne le droit de ne pas justifier mes propos (ah le pouvoiiiiiiiiiiir))), cependant il se distingue de son camarade Anglais, notamment par ses couleurs jaune et bleus et non rouge.

Autre particularité concernant l’organisation et le passage des bus à Dublin, un bus à l’heure n’est pas un bus Dublinois, savoir quel bus prendre pour aller à un endroit donné est plus que difficile étant donné la clarté des trajets des bus sur les plans (ah beh normal y’a pas de plans, y’a que les noms des arrêts (et pas tous attention)).

C’est donc ainsi que Jon se vit dans l’obligation de demander à une personne du coin quel bus devait-il prendre pour descendre à la station susnommée dans ses documents. (je vous mets les dialogues en français, pour un souci de compréhension et parce que je suis sur que si je le dis en anglais y’aura des fautes (ce qui n’est pas exclu pour la version française bien entendu)).

- Bonjour, excusez-moi j’aimerais savoir si ce bus va bien en direction de (nom de la station ou je dois descendre) ?
- Désolé, moi pas d’ici, je pas comprendre.
- Ah, beh pas de chance. Merci quand même.

Et oui c’est ainsi, il faut savoir qu’à Dublin, il est très rare de tomber sur un Dublinois.
Jon se dis que cette fois il allait demander à des personnes qui s’y connaissait en transport, c'est-à-dire des hôtesses de l’air (beh oui tant qu’à faire) et cette fois il eu la réponse à sa question et du simplement traverser la route.

Simplement, simplement c’est vite dis, Jon avais oublié un petit détail c’est qu’ici avant de traverser il faut faire l’inverse de ce qu’il faisait en France. D’abord on regarde à droite et ensuite à gauche, c’est ainsi que faillis s’achever l’histoire de Jon à Dublin (c’eut été dommage pour le reste de l’histoire et pour harry potter et le reste de l’humanité). Cependant un réflexe lui fis regagner le trottoir avant de finir tapis de sol (ça existe des tapis qui ne soit pas de sol ?).

Après avoir traversé la route il attendit donc le bus qui devait arriver à une heure aléatoire pile, ce qui fut le cas. Jon ne comprenant rien au système de paiement dans les bus Dublinois dis au chauffeur qu’il devait aller là (mais si là voyons, lààà regarder mon index bordel) et la chauffeur lui dis le montant à payer (en fait à Dublin le prix dépend de la distance parcourue). Jon s’acquitta de la somme demandée et alla s’asseoir après avoir demandé au chauffeur de le prévenir quand il devait descendre (oui parce qu’il y’a pas de plan dans les bus non plus…).

Une fois descendu du bus, Jon devait trouver ou se trouvait l’adresse à laquelle il devait se rendre et pour une fois Jon trouva rapidement (ouaiiis) car il suffisait de tourner le regard un peu sur la gauche pour voir le panneau au nom de l’organisme avec qui Jon avait réservé son logement.

Il fut reçu par un homme d’une trentaine d’années nommé Stan, très sympa surtout par le fait que son anglais était tout à fait compréhensible. Stan après avoir expliqué le déroulement des évènements et les règles de la location, demanda si Jon avait une question, ce à quoi Jon demanda si il pouvait aller aux toilettes (oui parce qu’il y’a avait pas été depuis 2h avant son départ de l’aéroport). Après que Stan lui ai indiqué le chemin et que Jon accompli son devoir, ils purent se diriger vers la voiture de Stan afin de rejoindre le logement ou Jon allait vivre quelques temps.

Arrivé à la voiture Stan invita Jon à s’asseoir à la place du passager. Jon se dirigea naturellement du côté droit de la voiture, le côté du passager…beuuuuuuuuuuurp mauvais choix. Évidemment vu qu’ils roulent à gauche, le volant se trouve à droite, tout était inversé. Jon se dis que si il s’étais bourré la gueule, ses débuts à Dublin auraient peut être été plus aisés.

Jon s’en sortait pourtant plutot bien pour le logement car celui-ci était situé à Dublin 7 donc assez proche du centre ville (20 à 30 minutes à pied environ). A noter qu’en Irlande il n’y a pas de codes postaux pour les villes. Par contre il y’en à pour designer les différents quartiers de Dublin. L’attribution des codes postaux est assez simple, plus on est au centre plus le code postal est proche de 0, les codes postaux impairs sont au Nord et les pairs au Sud. Je crois qu’une carte sera cependant plus explicite.

(vous en apprenez des trucs dans ce chapitre…)

Une biofic imaginaire Dublin%20Postalcodes

Jon arriva donc au logement qu’il avait loué et qu’il devait partager avec deux Italiennes et un Danois, quand Jon et Stan (et Harry toujours, faut pas l’oublier) arrivèrent à l’appart seul le danois était présent. Alors pas la peine de vous imaginer un grand blond avec une belle dentition, car ce Danois là était petit trapu chauve et noir du fait de son origine Ghanéenne (enfin il me semble). Jon remercia Stan alors qu’il s’en allait et commença à s’installer dans son logement.


et chapitre 6 (tout moisi du cul cul xclan!)

Citation :
Le logement de Jon se trouvait non loin du centre commercial Tesco, magasin qui regroupait différents produits nécessaires à la survie Irlandaise (le pain de mie notamment). De plus, jon logeant au 4éme étage, il avait une très belle vue, quand il regardait de la fenêtre de sa chambre.
La chambre, puisqu’on en parle, était elle assez réduite. Jon qui était habitué à avoir une chambre assez grande pour pouvoir avoir un bordel plus grand, se dit que cette époque était révolue et qu’étant donnée la petitesse de la chambre et le fait que Jon devait la partager avec un autre homme, il ferait bien de se mettre à ranger ses affaires au fur et à mesure (21 ans de résistance au ménage qui s’écroule face à un simple voyage, ça fait mal, mais faut s’adapter^^)
La visite se poursuit avec la découverte de la salle de bain (avec toilettes) qui bien que n’étant pas grande était bien suffisante. Jon n’étant pas de nature à passer des heures à se pouponner il n’avait pas besoin d’une salle de bain extrêmement spacieuse et luxueuse (de toute façon Jon il s’en fout du luxe et ouais^^). Cependant Jon apprit par l’une de ses colocs que l’eau chaude n’était pas disponible automatiquement, et que pour l’obtenir il fallait tourner un bouton qui se trouve derrière la porte d’un placard situé à l’entrée de l’appartement (rien de bien compliqué ouf).
La cuisine quand à elle se trouve dans la même pièce que le salon (un petit muret et le passage de la moquette à un sol euh synthétique je crois…), 4 plaques sont la pour la cuisson, un four, un micro-onde, un petit frigo et voilà le tour de la cuisine est fait (c'est-à-dire un tour sur soi-même en gros…).
Et voilà, l’état des lieux est fait, mais franchement arrêter le chapitre ici, ç afait pas bien du tout…

Chapitre 6(bis) : Etat des lieux glaciaire

- Alors harry, tu en penses quoi de cet appartement ?
- Disons que c’est pas bien grand quoi, ça doit faire la taille d’un igloo quoi…
- T’exagère là quand même, il faut pas abuser, c’est tout petit les igloos
- Qu’est-ce que tu en sais, t’as déjà visiter ?
- Beh, non, mais bon…
- …
- …
- … (les instants de silence passent mieux au cinéma je vous le confesse), bon on à qu’à aller en Alaska pour voir qui de nous deux à raison.
- Ok, si ton instinct te dis d’aller là bas, c’est qu’il doit y’avoir une raison. On y va comment ?
- Oh beh facile… AUTEUR ? AUTEUR ?

Oui, ici l’auteur, que se passe t’il ?

- On aurait besoin d’aller en Alaska Harry et moi, et bon comme vous avez déjà fais un chapitre sur un vol d’avion, peut être que ce serait plus pratique si vous trouviez un moyen rapide de se retrouver en Alaska…

D’accord, je vais voir ce que je peux faire pour vous.

Après cette discussion, Jon alla faire les courses au Tesco du coin, il acheta un bon petit whisky ainsi qu’un sac à glaçon, afin de faire une sorte de crémaillère avec Harry pendant que ses colocataires n’étaient pas encore arrivés. Une fois que les glaçons furent constitués, il servit un verre de whysky à Harry, puis se servit un verre à la suite. Il déposa ensuite deux glaçons dans le verre d’Harry, puis quand il déposa deux autres glaçons dans son propre breuvage, deux éclairs surgirent des verres. Puis ils fusionnèrent et cela créa une porte intersidérale accompagnée d’un panneau indiquant que celle-ci menait à l’alaska.

- Waaaaaaaaaaaaah !! On va enfin pouvoir si un igloo est plus grand que cet appartement, s’exclama Jon. Bon allons-y.

Et c’est ainsi que nos deux amis (à partir de 5 chapitres on peut les considérer comme nos amis) se retrouvèrent en Alaska.

- On aurait peut-être du prendre des manteaux ou des trucs qui tiennent un peu chaud Harry, là je crois qu’on va pas tenir une heure.

Alors que Jon venait de terminer sa phrase, la porte intersidérale se déforma et se mis à tousser comme quand on a un chat dans la gorge. Mais à la place du chat, c’est un énorme sac rempli de pull, de doudounes, de gants,… qui apparu. Ce qui nous montrons bien sur, que l’auteur à quand même de sacrés pouvoirs.

Après s’être revêtu avec des vêtements plus réchauffant, nos deux protagonistes se dirigèrent vers l’endroit qui leur semblait le plus peuplé, c'est-à-dire en direction du hasard, car le choix entre d’un côté de la glace et de l’autre côté de la glace ne les aidaient guère pour se décider.

C’est au bout de deux heures de marches, que nos deux compères (vous apprécierez quand même, la richesse du vocabulaire de l’auteur, qui à réussi à utiliser trois mots différents pour parler d’Harry et de Jon, c'est-à-dire amis, protagonistes, compères…).

Bon du coup je vais finir ce chapitre là-dessus.

A demain pour des aventures passionnantes et palpitantes!
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MessageSujet: Re: Une biofic imaginaire   Une biofic imaginaire Icon_minitimeDim 27 Fév - 16:58

Ouhhhlala, j'ai du retard.
J'essaerais dire tout ça dans l'après midi Smile
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